A ceux qui croient que l’amour n’existe pas.
A moi…
Tout parait lugubre dans cet univers poubelle
Ou tout ce prend tout ce jette
Qu’on plante enfin sur le tas de misère, la pelle.
Les étoiles dégoulinent du ciel
Parlons-en du ciel, aussi vrai que du carton pâte.
Il n’y a rien de vrai, a part peut être, les cœurs qui saignent ?
Elles s’émoussent dans le temps, les montagnes faite de plâtre.
Les arbres si vert ou s’abritent les amoureux menteurs
Sentent la peinture que dieu à déposé sur ses feuilles.
On y voit que du feu, qu’une ribanbelle d’arc en ciel
Montant jusqu’aux cieux et que nous suivons dans un vœux
Sur la terre, genoux usés, nous prions en croyant
Que nous somme pour être heureux, demandons en pleurant.
On ne doit pas supplier pour les choses évidentes
Si cela ce fait, si nous croyons le devoir
C’est qu’un démon aux dents longues, nous suce l’évidente fausse gloire.
Voici la terre d’enfer, l’envers du miroir heureux
Vous pouvez l’apercevoir, y goûter, tête la première
Si vous prenez l’essence même du mal.
Ne pas s’apercevoir de prime à bord qu’elle est fait de ce fiel
Et courir comme un dératé dans ce tourbillon féerique et menssongé
L’univers est fait de lumière accessible
Il suffit de regarder vers la bonne cible
Les étoiles nous éclairent pourtant, pourtant on ne voit qu’elles
Mais pas ce que montre son doigt, le sourire invident.
Le ciel est profond et ne trahis pas les yeux le regardant
Gravitant les montagnes célestes jusqu’au firmament
Le pas svelte on va vers le sommet enivrant.
Les arbres sont fait de vie, de couleurs et de sève
De bois et d’harmonie, les feuilles chantent si bien dans le vent qui se lève
Les amoureux sont assis, au pied de l’arbre à l’oreille discrète
Les amoureux parlent en vrai comme à la naissance de l’amour
Le monde est ainsi fait, c’est à nous de rendre beau se jour